L'HOMME DE NEW-YORK
C’était il y a quelques jours. La France n’avait pas encore de premier ministre. Les Français s’apprêtaient à vivre une palinodie politicienne digne du burlesque. Il allait bientôt être question d’un fantomatique gouvernement à tendances suicidaires. Un beau matin, un certain macron est monté dans le jet présidentiel, direction New-York, aux frais des contribuables. Il était attendu là-bas par tout le gratin de la finance mondiale afin de recevoir le prix de « globalist leader » de l’année décerné par l’Atlantic Concil.

C’est même Larry Fink le patron de BlackRock qui lui remettait ce prix. Rappelons que BlackRock est une société multinationale américaine spécialisée dans la gestion d’actifs et que son patron est réputé parler depuis longtemps à l’oreille de l’actuel locataire (provisoire) de l’Elysée.
Euh…! C’est tout?
Oui, pas mieux!